Santé
Panorama français
Depuis 1947, date à laquelle l’OMS élargie la définition de l’état de santé au-delà de l’absence de maladie, la notion de qualité de vie est devenue un critère d’évaluation de l’efficacité des traitements.
De ce point de vue, la mindfulness présente des effets très bénéfiques sur une large palette de maladies. Qu’il s’agisse de pathologies chroniques, inflammatoires, infectieuses, psychiatriques, on observe une amélioration significative de la qualité de vie des patients ce qui indirectement améliore l’observance et induit le désir de prendre soin de soi et de respecter les règles hygiéno-diététiques élémentaires. Ainsi, l’impact de la pathologie dans les aires affectives, sociales, professionnelles des patients s’en trouve réduit.
Plus spécifiquement, il a été confirmé que la mindfulness agit directement sur les symptômes de certaines maladies : l’hypertension artérielle, des douleurs chroniques, la dépression et les troubles anxieux sont améliorés par cette pratique. Sans même ajouter à cette liste, les pathologies pour lesquelles les effets sont à confirmer, l’on peut déjà mesurer l’impact en santé publique ainsi que les avantages médico-économique de la diffusion de la pratique de la mindfulness en curatif mais également en prévention primaire et secondaire.
Les perspectives de recherches sont encore très larges avec notamment la validation de programmes spécifiques pour diverses pathologies car aujourd’hui encore l’essentiel des études est mené avec le programme MBSR et MBCT.
De ce point de vue, la mindfulness présente des effets très bénéfiques sur une large palette de maladies. Qu’il s’agisse de pathologies chroniques, inflammatoires, infectieuses, psychiatriques, on observe une amélioration significative de la qualité de vie des patients ce qui indirectement améliore l’observance et induit le désir de prendre soin de soi et de respecter les règles hygiéno-diététiques élémentaires. Ainsi, l’impact de la pathologie dans les aires affectives, sociales, professionnelles des patients s’en trouve réduit.
Plus spécifiquement, il a été confirmé que la mindfulness agit directement sur les symptômes de certaines maladies : l’hypertension artérielle, des douleurs chroniques, la dépression et les troubles anxieux sont améliorés par cette pratique. Sans même ajouter à cette liste, les pathologies pour lesquelles les effets sont à confirmer, l’on peut déjà mesurer l’impact en santé publique ainsi que les avantages médico-économique de la diffusion de la pratique de la mindfulness en curatif mais également en prévention primaire et secondaire.
Les perspectives de recherches sont encore très larges avec notamment la validation de programmes spécifiques pour diverses pathologies car aujourd’hui encore l’essentiel des études est mené avec le programme MBSR et MBCT.
A la faculté de médecine
Depuis 2016, un module de méditation pour les étudiants de médecine de 3° année (32h comprenant un programme MBSR et quelques cours théoriques) a été mis en place à la faculté de médecine de Strasbourg.
Le 9 novembre 2016, Jon Kabat Zinn a animé une conférence à la faculté de médecine de Strasbourg sur le thème " Méditation et Médecine du corps esprit : quels effets en santé publique et dans la société ".
Le 9 novembre 2016, Jon Kabat Zinn a animé une conférence à la faculté de médecine de Strasbourg sur le thème " Méditation et Médecine du corps esprit : quels effets en santé publique et dans la société ".
|
A l'université
Un DU Médecine Méditation et Neurosciences est proposé à l'université de Strasbourg depuis 2012 pour les médecins, psychiatres et psychologues.
Un DU Meditation de Pleine Conscience et Relation de Soin est proposé depuis septembre 2017 à Toulouse ainsi qu'un DU Méditation et santé à la faculté de médecine de Montpellier-Nimes.
Un DU Meditation de Pleine Conscience et Relation de Soin est proposé depuis septembre 2017 à Toulouse ainsi qu'un DU Méditation et santé à la faculté de médecine de Montpellier-Nimes.
|